Notre challenge ?
Aller plus vite que le robot de traite !



On compte quelque 14 000 robots de traite en France. Il aura fallu plus de 50 ans pour passer des premiers prototypes à la première exploitation équipée au début des années 1990, puis à l’investissement croissant par les agriculteurs dans les années 2000. Déployer GREEN LOGIX plus vite que le robot de traite, voilà l’un de nos défis.
 
Pour ce faire, nous travaillons sur quatre axes, notre valeur de qualité du service englobant le tout :

- les mentalités : franchir le pas d’adopter une nouvelle technologie requiert un temps de questionnements, d’échanges, d’appropriation : c’est la raison pour laquelle nous consacrons beaucoup de temps à répondre aux questions des agriculteurs et que nous utilisons beaucoup de pédagogie dans nos échanges ;

- la confiance : l’agriculteur a une attente forte de garantie de bon fonctionnement, ce que nous trouvons complètement justifié : c’est pourquoi nous avons attendu plusieurs années avant de lancer GREEN LOGIX : cinq années, qui nous permettent d’affirmer avec force que GREEN LOGIX fonctionne : et on peut le prouver ;

- le modèle économique : avec une formule qui comprend un coût d’installation optimisé et une formule d’abonnement qui englobe la location du matériel, l’agriculteur minimise ses risques et a l’assurance de bénéficier d’un matériel toujours opérationnel ;

- l’efficacité : l’une des forces du bon sens paysan est d’investir dans du pragmatique, du concret, de l’efficace. En permettant de réduire les coûts d’exploitation, de gagner du temps de travail, de sécuriser la production, GREEN LOGIX satisfait ces critères.
 
Forts de ces quatre propulseurs, nous œuvrons pour que GREEN LOGIX soit connu du plus grand nombre et puisse être adopté rapidement par les acteurs agricoles. Le robot de traite a mis 50 ans à gagner les exploitations : si on relevait ce défi en moins de 5 ans ? Irréaliste ? Probable ? Plausible ? Qu’en pensez-vous ?

“If I had asked people what they wanted, they would have said faster horses.”
Henry FORD